L’atmosphère du palais semblait s’être épaissie qui entourent Raphaël, comme si l'expérience du glaçon d’ivoire avait déclenché une évènement indiscernable. L’objet, irrévocable et silencieux, ne montrait plus rien pour l’instant, mais il portait en lui un référencement, une attente, un apprendre en sommeil prêt à se élever. Raphaël passa une index sur le cadre sculpté du liégeois, détaillant les motifs complexes qui le recouvraient. Chaque arabesque semblait raconter une histoire, un récit réalisés dans l’ivoire par une index inconnue. Il savait que la voyance s’exprimait parfois par des caractères, des fragments d'authenticité qu’il fallait décoder. Ce bombe n’était pas qu’un pratique objet ancien, il était un employé entre le présent et un futur qui tentait de adevenir. Il recula lentement et observa à présent le support lisse. Un élément indisctinct venait de se produire. La naissance de la parure, même si tamisée, ne se reflétait toujours pas dans le miroir. Au repère de cela, une lumiere diffuse semblait décamper de l’intérieur même de l’ivoire. Une vitalité presque invisible parcourut la pièce, à savoir si le palais lui-même retenait son disposition. L’image apparut promptement, lente et silencieuse. Raphaël se retrouva face à un paysage qu’il ne connaissait pas : une cité passée, construite sur un promontoire rocheux, baignée d’une naissance doré. Les rues pavées étaient vides, notamment figées dans une période suspendu. Pourtant, quelque chose d’étrange attira immédiatement son regard. Au loin, sur une large vie centrale, une nouvelle interprétation du psyché d’ivoire trônait dans la cité. Cette illustration n’était pas un coulant tablette du passé. Il savait que la voyance par téléphone sérieuse permettait relativement souvent de ensorceler des info venues d’un ailleurs insaisissable. Ici, le symbole lui montrait une cité dont il ignorait tout, et toutefois, il savait qu’elle détenait une introduction importante à la attachement de ce trésor. Puis, par exemple si la image atteignait sa limite, l’image s’effaça délicatement, donnant vie au calme. Raphaël resta figé amenées à le reflet. Il venait d'aprehender une chose non-négligeable : ce banquise ne lui montrait non seulement un futur prochaine. Il lui révélait un pont, un sorte encore incomplet, une devinette avec lequel il lui appartenait dès maintenant de déborder le sens.
